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Dans cette édition, de grands noms de la scène catalane tels que Ramon Madaula et Jordi Boixaderas, des réalisateurs tels que Sergi Belbel et des acteurs de renom tels que David Verdaguer et Enric Cambray, entre autres, se sont produits.
Satisfaction générale du public assistant au IXe Festival de Théâtre Micrométrique, organisé par la Mairie de Santa Susanna et LaGuàrdia Produccions. Ce week-end, le Festival a clôturé sa neuvième édition avec 92 % des billets vendus (1 416 sur 1 536) et avec le sentiment que l’événement a fait un saut qualitatif. En effet, le préambule du dixième anniversaire du Micromètre, qui sera célébré l’année prochaine, a apporté un panneau d’affichage avec des noms tels que Jordi Boixaderes, Ramon Madaula, David Verdaguer ou Sergi Belbel, entre autres.
Ce qui a commencé comme un festival d’œuvres de petit format destinées à des groupes émergents a grandi et évolué pour devenir un espace où se réunissent des acteurs et des spectacles de haut niveau. Cette année, six des neuf spectacles qui ont été présentés ont été accrochés avec le signe « full ».
Le week-end dernier
Le deuxième week-end du Micròmetre – les 12, 13 et 14 septembre – a répondu à toutes les attentes du public. Le 12 septembre, Sergi Belbel (réalisateur) et Enric Cambray (acteur) ont présenté « Hamlet.02 ». Un Shakespeare transformé en comédie stand-up, avec un seul acteur jouant tous les personnages et faisant rire et réfléchir le public.
Le 13 septembre, la proposition théâtrale la plus révolutionnaire de cette édition a été faite, « Una casa en la montaña ». Autour d’une immense table, des acteurs (Javier Beltran, Albert Boronat et Sergi Torrecilla) et le public ont partagé tout un univers plein de drame, d’humour, de philosophie et de science-fiction. Le public a vécu une expérience théâtrale différente et surprenante. Le même jour, David Verdaguer et Òscar Machancoses se sont plongés dans une tragicomédie drôle et poignante sur la crise de la quarantaine. « Dos señoros » est une pièce de théâtre avec des chansons, de l’humour et des réflexions sur la vie.
Cette année, le Micròmetre s’est clôturé avec « Amor a mort », un spectacle des Féliuettes avec Laia Alsina, Maria Cirici, Laura Pau et Isabel Acosta (piano). Une proposition fraîche et amusante sur l’amour et ses contradictions.
Première partie
Le Festival a débuté le jeudi 4 septembre avec le débat sur les arts de la scène intitulé « Le théâtre, le Netflix des braves », avec Sergi Belbel (metteur en scène), David Verdaguer (comédien) et Jordi Bordes (critique). Le vendredi 5 a été jouée la pièce de théâtre « Tuelf Points », un spectacle avec des versions des grands classiques du Concours Eurovision de la chanson avec les voix de Xavi Duch, Esther Peñas, Laura Daza, Dídac Flores et Marc Pociello. Le samedi 6, il y a eu une double session dans l’après-midi et le soir avec « Le jour où la reine m’a sauvé la vie », avec Rocío Pinto et Rubén Espinosa ; et « Els bons » avec Jordi Boixaderas et Ramon Madaula. Le dimanche 7, c’était au tour de Marc Tarrida, Alicia González, Jan D. Casablancas et Jordi Coll avec « Le principe d’Archimède ».
Le Micròmetre a également proposé des spectacles de petit format dans l’espace qui porte le nom de La Cleda, dans la cour du Centre civique.